Blog d'Olivier Raulin

Un peu de technique ...

Firefox Sync - Installation de son propre serveur

S’il y a bien quelque chose que j’appréciais en utilisant Google Chrome (au delà de son apparence rapidité par rapport à Firefox), c’est bien la synchronisation entre tous les appareils des préférences, extensions et autres paramètres. Je suis repassé sur Iceweasel depuis quelques temps, et j’ai vu que Mozilla avait également implémenté une fonction de synchronisation entre appareils.

On peut soit passer par leur service, limité à 25 Mo par utilisateur (mais gratuit) soit installer soi-même son propre serveur. Etant un peu de nature paranoïaque, j’ai donc choisi la seconde solution après avoir testé la façon dont fonctionne leur service.

Installation de Proxmox sur mon NAS Debian

Jusqu’à peu, j’avais chez moi un NAS, qui ne me servait qu’à stocker des fichiers, et un serveur basé sur une carte-mère Mini-ITX et un Athlon 3800+, épaulé de 2 Gio de RAM.
Lors de mes différentes reviews de CPU, j’ai remarqué que le CPU de mon NAS (un APU AMD) avait un score supérieur de deux fois à mon Athlon 3800+ … avec un TDP trois fois moindre.

Il ne m’a pas fallu longtemps pour me dire que je gaspillais de l’électricité et du temps d’attente à laisser ces machines séparées.
Rapidement cependant, je me suis rendu compte que l’actuel serveur était jonché de tests divers et variés, avec des services pas réellement utilisés qui étaient lancés, des bouts de configuration par-ci par-là … bref, une plate-forme de test.
Je voulais faire quelque chose de plus propre à cette occasion, et la virtualisation m’a permis de répondre à cette problématique.

Votre mobile pendant vos voyages à l’étranger

Il arrive parfois de partir en vacances à l’étranger, pour certains veinards que vous êtes. Et là, de nombreuses questions se posent : comment faire pour rester joignable pendant mon séjour ? Quels sont les tarifs impliqués ? Que faut-il préparer avant de partir ?
J’apporterai une réponse à ces questions dans ce billet, que j’espère le plus clair et le plus instructif possible.

Passer son trafic web au travers de SSH

Si vous êtes abonné chez Free, vous n’êtes pas sans savoir qu’il est parfois compliqué d’accéder à YouTube en heures de pointe.
Bien que la situation se soit grandement améliorée depuis quelques temps, tout n’est pas toujours rose.

Il existe une solution assez simple pour contourner ce problème, du moins si l’on possède une machine à l’extérieur de son réseau (par exemple, un serveur virtuel, ou bien un petit Kimsufi chez OVH (enfin, s’ils acceptent un jour à nouveau les clients :–) )

Mise en place d’un reverse proxy Nginx

Quand on est geek, il arrive qu’on héberge plusieurs services sur plusieurs ports chez soi … et, malheureusement, on se retrouve confronté à la limite d’une seule adresse IP (hors IPv6, mais c’est un autre sujet :) ), qui est celle que notre fournisseur d’accès nous offre.

C’était clairement un problème jusqu’à ce soir. J’avais mis en place une solution de contournement utilisant un web-proxy … qui était malheureusement assez peu pratique.
En visitant le blog de Victor Héry, je suis tombé sur cet article qui indiquait comment monter un reverse proxy avec Apache. D’ailleurs, son explication de l’utilité du bazar est assez claire, n’hésitez pas à aller le lire.

Du coup, j’ai entrepris de faire la même chose avec Nginx sur mon Raspberry Pi (parce que Apache, c’est trop facile :–) )

Serveur de mail et webmail

Avec le scandale qu’à fait l’affaire PRISM sur l’ampleur de la surveillance à l’échelle planétaire de la population, on peut se dire qu’il devient important de se passer des “grands” fournisseurs.
Si cela ne sera clairement pas facile en ce qui concerne la recherche sur Internet, en revanche on peut légitimement se poser la question en ce qui concerne nos conversations personnelles.
Je ne pense pas que les mails que je reçoive intéressent particulièrement les différents gouvernements de la planète, mais le simple fait que ceux-ci puissent être lus par quelqu’un d’autre que moi me gêne.

Le serveur

Note préalable : j’écris ce billet avec gedit, et plus directement avec nano depuis le serveur, c’est quand même un peu plus “convivial”.
Ce billet aura donc vocation de parler du serveur qui héberge ce blog (entre autres).
J’ai depuis quelques temps l’envie de tenir un blog à vocation plutôt technique, mais je n’ai jamais pris le temps de m’y mettre sérieusement.
Ce qui m’a décidé ? L’apparition du premier serveur dédié à 3€ par mois … chez OVH. On dira ce qu’on veut, c’est une bonne affaire pour qui n’a pas besoin d’un hébergeur “parfait”.

Commençons par ce blog

Comment fonctionne ce blog ?

Vous connaissez probablement Wordpress, système de gestion de blog utilisé par près de la moitié des blogs au niveau mondial …
Eh bien, désolé, mais vous n’êtes pas sur un blog propulsé par Wordpress.
Désireux de connaître d’autres systèmes, j’ai demandé à twitter ce qu’on pouvait me conseiller : on m’a répondu Octopress.
Après quelques recherches rapides, je tombe donc sur le site officiel.
Après légère réflexion, je me suis dit qu’il serait plus utile d’avoir un système générant des pages statiques, plutôt qu’un système comme Wordpress qui est dynamique (et donc régénère les pages à chaque visite). Ça tombe bien, Octopress est un système comme cela.